Savez-vous calculer le nombre de pixels d'amour et le degré de tendresse d'une photo ?
C'est très simple, étonnamment drôle et extrêmement beau.
Glissez dans un petit cube grand comme le point du i, du verbe aimer et contemplez, tel un enfant, les yeux flous, l'amour abstrait qui, en cadence, se casse et se concasse...
Il suffit de se (télé)porter sur http://iloveyou.38degres.net/marse05/, puis de se laisser (em)porter par le jeu de lumière et de couleurs, créé par Jacques Perconte.

La p'tite explication de l'artiste pour les scientifiques...
" Dans « I love you », à chaque fois qu'une image d'Isabelle doit être vue par quelqu'un de connecté à ces collections de photographies, l'image est plus ou moins transformée par un programme (love writing program). Le code source du fichier est ouvert et modifié avant que l’image ne soit affichée : une application calcule un nombre variable très précis en prenant en compte certains paramètres du serveur et de la connexion du spectateur. Ce nombre est recalculé à chaque fois qu'une nouvelle image doit s'afficher.
Une fois déterminé, l'application cherche le nombre dans le code de l'image. Et si cette variable est présente, elle est remplacée par l'expression ‘I love you' : Ainsi l'architecture du code est déformée, elle peut l’être a plusieurs reprises, aussi bien une fois que cinq mille, il n’y a pas d’autre limite que la quantité d’informations contenues dans le fichier de l’image.
Le navigateur sollicité pour la consultation interprète le fichier et essaie d'afficher l'image. Mais les transformations de la source peuvent modifier son apparence en entraînant l'apparition d'artefacts tels que la pixellisation, la déformation, l'addition de nouvelles couleurs, la réinterprétation partielle ou totale de l'image, la disparition du sujet et voire même l'impossibilité absolue au navigateur d'afficher l'image : apparition d'une icône brisée.
Cette méthode absurde d'écriture littérale de l'amour dans l'image, directement dans le code donne à voir chaque fois une nouvelle collection d'images plus ou moins empreintes d'amour. Plus il est présent moins les images sont visibles."
Glissez dans un petit cube grand comme le point du i, du verbe aimer et contemplez, tel un enfant, les yeux flous, l'amour abstrait qui, en cadence, se casse et se concasse...
Il suffit de se (télé)porter sur http://iloveyou.38degres.net/marse05/, puis de se laisser (em)porter par le jeu de lumière et de couleurs, créé par Jacques Perconte.

La p'tite explication de l'artiste pour les scientifiques...
" Dans « I love you », à chaque fois qu'une image d'Isabelle doit être vue par quelqu'un de connecté à ces collections de photographies, l'image est plus ou moins transformée par un programme (love writing program). Le code source du fichier est ouvert et modifié avant que l’image ne soit affichée : une application calcule un nombre variable très précis en prenant en compte certains paramètres du serveur et de la connexion du spectateur. Ce nombre est recalculé à chaque fois qu'une nouvelle image doit s'afficher.
Une fois déterminé, l'application cherche le nombre dans le code de l'image. Et si cette variable est présente, elle est remplacée par l'expression ‘I love you' : Ainsi l'architecture du code est déformée, elle peut l’être a plusieurs reprises, aussi bien une fois que cinq mille, il n’y a pas d’autre limite que la quantité d’informations contenues dans le fichier de l’image.
Le navigateur sollicité pour la consultation interprète le fichier et essaie d'afficher l'image. Mais les transformations de la source peuvent modifier son apparence en entraînant l'apparition d'artefacts tels que la pixellisation, la déformation, l'addition de nouvelles couleurs, la réinterprétation partielle ou totale de l'image, la disparition du sujet et voire même l'impossibilité absolue au navigateur d'afficher l'image : apparition d'une icône brisée.
Cette méthode absurde d'écriture littérale de l'amour dans l'image, directement dans le code donne à voir chaque fois une nouvelle collection d'images plus ou moins empreintes d'amour. Plus il est présent moins les images sont visibles."
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